Au camp de Ras Jedir, les réfugiés peuvent téléphoner à leurs proches ou à leur consulat sans payer un millime. Le tout grâce à l’aide appréciable des ONG internationales comme Télécoms sans frontières et des sociétés tunisiennes comme Omniacom.
Les Tunisiens n’ont pas ménagé leur aide aux réfugiés de toutes nationalités, fuyant la folie meurtrière de Khaddafi. La solidarité d’une bonne frange de la société civile tunisienne a pu efficacement contribuer à la prise en charge de ces migrants. Des sociétés commerciales ont également mis de côté, pour un temps, leur quête de profit, pour répondre aux besoins de ces personnes en difficultés: dons de stock alimentaire, livraisons de bouteilles d’eaux minérales, etc.
Or si la situation à la frontière tuniso-libyenne tend à se stabiliser, le camp d’émigrants forcés vers la Tunisie, a accueilli en ce début de semaine encore près d’une quinzaine de milliers de ces réfugiés. Et la communication n’est pas le moindre de leurs problèmes. Pouvoir téléphoner, pour appeler à l’aide est, dans ces conditions, crucial.
Télécoms sans frontières
Les Tunisiens n’ont pas ménagé leur aide aux réfugiés de toutes nationalités, fuyant la folie meurtrière de Khaddafi. La solidarité d’une bonne frange de la société civile tunisienne a pu efficacement contribuer à la prise en charge de ces migrants. Des sociétés commerciales ont également mis de côté, pour un temps, leur quête de profit, pour répondre aux besoins de ces personnes en difficultés: dons de stock alimentaire, livraisons de bouteilles d’eaux minérales, etc.
Or si la situation à la frontière tuniso-libyenne tend à se stabiliser, le camp d’émigrants forcés vers la Tunisie, a accueilli en ce début de semaine encore près d’une quinzaine de milliers de ces réfugiés. Et la communication n’est pas le moindre de leurs problèmes. Pouvoir téléphoner, pour appeler à l’aide est, dans ces conditions, crucial.
Télécoms sans frontières
Et c’est pour répondre à ce besoin que depuis le 25 février, l’association internationale Télécoms sans frontières (TSF) permet aux personnes en transit dans le camp de La Choucha, du côté de Ras Jedir, de téléphoner gratuitement. Ces communications sont destinées tant à leurs proches pour les rassurer sur leur situation qu’à leurs consulats ou autres représentations officielles. Ces dernières jouent un rôle important puisqu’elles permettent souvent d’offrir une solution concrète aux rapatriements de ces personnes qui n’ont plus d’autres moyens pour communiquer.
Tunisie : Communications gratuites pour les migrants de Ras Jedir
Au camp de Ras Jedir, les réfugiés peuvent téléphoner à leurs proches ou à leur consulat sans payer un millime. Le tout grâce à l’aide appréciable des ONG internationales comme Télécoms sans frontières et des sociétés tunisiennes comme Omniacom.
Les Tunisiens n’ont pas ménagé leur aide aux réfugiés de toutes nationalités, fuyant la folie meurtrière de Khaddafi. La solidarité d’une bonne frange de la société civile tunisienne a pu efficacement contribuer à la prise en charge de ces migrants. Des sociétés commerciales ont également mis de côté, pour un temps, leur quête de profit, pour répondre aux besoins de ces personnes en difficultés: dons de stock alimentaire, livraisons de bouteilles d’eaux minérales, etc.
Or si la situation à la frontière tuniso-libyenne tend à se stabiliser, le camp d’émigrants forcés vers la Tunisie, a accueilli en ce début de semaine encore près d’une quinzaine de milliers de ces réfugiés. Et la communication n’est pas le moindre de leurs problèmes. Pouvoir téléphoner, pour appeler à l’aide est, dans ces conditions, crucial.
Télécoms sans frontières
Les Tunisiens n’ont pas ménagé leur aide aux réfugiés de toutes nationalités, fuyant la folie meurtrière de Khaddafi. La solidarité d’une bonne frange de la société civile tunisienne a pu efficacement contribuer à la prise en charge de ces migrants. Des sociétés commerciales ont également mis de côté, pour un temps, leur quête de profit, pour répondre aux besoins de ces personnes en difficultés: dons de stock alimentaire, livraisons de bouteilles d’eaux minérales, etc.
Or si la situation à la frontière tuniso-libyenne tend à se stabiliser, le camp d’émigrants forcés vers la Tunisie, a accueilli en ce début de semaine encore près d’une quinzaine de milliers de ces réfugiés. Et la communication n’est pas le moindre de leurs problèmes. Pouvoir téléphoner, pour appeler à l’aide est, dans ces conditions, crucial.
Télécoms sans frontières
Un témoignage des équipes TSF l’exprime fort bien : « Nous avons permis à des réfugiés originaires du Ghana de donner des nouvelles à leur famille. Mais tous les jours, nous les retrouvions à côté de notre centre, sans solution de rapatriement... Il n'y a pas de consulat du Ghana à Tunis. Nous décidons donc d'appeler le consulat du Ghana en Algérie.
L'interlocuteur les assure de son assistance officielle et après plusieurs échanges téléphoniques, le 1er mars, l'engagement est tenu : le représentant du Consul lui-même est arrivé dans le camp et a pris en charge ses ressortissants. »
TSF a aussi mis en place une connexion internet satellite dans le campement du Croissant Rouge. Ainsi, à Ras Jedir, des organismes comme le Croissant Rouge Tunisien, mais aussi l’Agence des Nations Unies pour les Réfugiés, le CICR et l’OIM (Organisation Internationale pour les Migrations), ainsi que des médecins tunisiens peuvent échanger des mails, et communiquer via le Net, sans problème.
Omniacom à la rescousse

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire