Le Tribunal de première instance de Tunis a condamné, jeudi 9 juin 2011, le « passeur » de Belhassen Trabelsi à un mois de prison ferme et trois mille dinars d’amende.
Le « passeur » en question travaillait chez Belhassen Trabelsi, beau-frère de l’ancien président, qui lui a demandé le 14 janvier 2011 de le conduire, à bord de son yacht, vers les côtes italiennes. L’agent s’est exécuté (sous la menace selon ses dires) et a ainsi enfreint la loi puisque le passage des frontières de Trabelsi s’est effectué d’une manière clandestine.
Après avoir atteint les côtes italiennes, Belhassen Trabelsi est parti après avoir donné à son agent quelque 5.000 dinars. Ce dernier, après avoir appris la fuite de Ben Ali, est rentré en Tunisie et s’est présenté de lui-même à la police.
Ayant déjà purgé sa peine, il a été relâché après le verdict.
Mise à jour : Son avocat nous a contacté pour nous dire que la condamnation a porté sur une infraction douanière à la législation de change et non pour le passage clandestin des frontières. Quant au montant (2800 dinars selon l'avocat) il est équivalent à ce que les douaniers ont trouvé sur lui lorsqu'il s'est présenté de son propre chef aux autorités.
Le « passeur » en question travaillait chez Belhassen Trabelsi, beau-frère de l’ancien président, qui lui a demandé le 14 janvier 2011 de le conduire, à bord de son yacht, vers les côtes italiennes. L’agent s’est exécuté (sous la menace selon ses dires) et a ainsi enfreint la loi puisque le passage des frontières de Trabelsi s’est effectué d’une manière clandestine.
Après avoir atteint les côtes italiennes, Belhassen Trabelsi est parti après avoir donné à son agent quelque 5.000 dinars. Ce dernier, après avoir appris la fuite de Ben Ali, est rentré en Tunisie et s’est présenté de lui-même à la police.
Ayant déjà purgé sa peine, il a été relâché après le verdict.
Mise à jour : Son avocat nous a contacté pour nous dire que la condamnation a porté sur une infraction douanière à la législation de change et non pour le passage clandestin des frontières. Quant au montant (2800 dinars selon l'avocat) il est équivalent à ce que les douaniers ont trouvé sur lui lorsqu'il s'est présenté de son propre chef aux autorités.
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