L'ICG, ou International Crisis Group, ONG qui s’est donné pour mission de prévenir et de résoudre les conflits grâce à une analyse de la situation sur le terrain, vient de consacrer une large partie de son dernier rapport à la Tunisie, sous le titre "la voie tunisienne". Dans ce rapport, elle appelle au rééchelonnement du paiement de la dette externe tunisienne et à l'organisation d'une conférence de soutien économique à la Tunisie, rapporte la TAP.
Analysant les origines de la Révolution tunisienne et la situation politique et sociale dans le pays, l’ONG souligne que “la Tunisie a fait preuve d'une remarquable capacité à atteindre un consensus sur des enjeux politiques cruciaux". Sur ce point, on peut cependant se demander si l’ONG a envoyé des gens pour vérifier ce qui se passe réellement sur le terrain en Tunisie. A moins qu’ils aient une autre conception du mot “consensus“ que nous ignorons. D’ailleurs, Crisis Group rappelle plusieurs défis, notamment politique et économique auxquels fait face la Tunisie, tout en indiquant que “le pays traverse une conjoncture économique difficile marquée par l'absence d'initiatives internes fortes et d'une généreuse contribution internationale, estime cette ONG.
Ceci dit, on est d’accord lorsque le directeur du programme Moyen-Orient-Afrique du Nord de Crisis Group, Robert Malley, affirme que "la Tunisie est le pays où tout a commencé… C'est le pays où la transition démocratique présente aujourd'hui les plus fortes chances de réussite“.
A noter que l'ICG, créée en 1995, publie régulièrement des comptes rendus et des rapports afin de toucher les décideurs internationaux (ONU, UE, Banque mondiale).
Analysant les origines de la Révolution tunisienne et la situation politique et sociale dans le pays, l’ONG souligne que “la Tunisie a fait preuve d'une remarquable capacité à atteindre un consensus sur des enjeux politiques cruciaux". Sur ce point, on peut cependant se demander si l’ONG a envoyé des gens pour vérifier ce qui se passe réellement sur le terrain en Tunisie. A moins qu’ils aient une autre conception du mot “consensus“ que nous ignorons. D’ailleurs, Crisis Group rappelle plusieurs défis, notamment politique et économique auxquels fait face la Tunisie, tout en indiquant que “le pays traverse une conjoncture économique difficile marquée par l'absence d'initiatives internes fortes et d'une généreuse contribution internationale, estime cette ONG.
Ceci dit, on est d’accord lorsque le directeur du programme Moyen-Orient-Afrique du Nord de Crisis Group, Robert Malley, affirme que "la Tunisie est le pays où tout a commencé… C'est le pays où la transition démocratique présente aujourd'hui les plus fortes chances de réussite“.
A noter que l'ICG, créée en 1995, publie régulièrement des comptes rendus et des rapports afin de toucher les décideurs internationaux (ONU, UE, Banque mondiale).
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