Yadh Ben Achour s'est dit prêt à quitter la présidence de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la Révolution si le conseil de cette institution le demande et procède à un vote dans ce sens. " Si vous votez ma démission, je ne resterai pas une minute après cette décision", a-t-il déclaré devant les membres de la Haute instance réunis jeudi matin 14 juillet 2011 au Bardo.
Cette position de Ben Achour vient suite aux déclarations du magistrat Mokhtar Yahyaoui publiées dans la presse tunisienne, appelant à la démission du président de la Haute instance.
Le président de la Haute instance a, toutefois, accueilli favorablement les initiatives visant à rétablir le consensus exprimant son souhait d'un retour du Mouvement Ennahdha au sein de la Haute Instance invitant toutes les parties qui s'étaient retirées ou ayant suspendu leur participation à cette structure à y reprendre leur place sans que cela ne se fasse pas "au détriment de la Haute instance", a-t-il dit.
Il devait préciser, à l'occasion, que l'initiative de Mokhtar Yahyaoui, pour dépasser les divergences au sein de la haute instance offre "une plate-forme de négociation" permettant d'aboutir à un projet consensuel qui sera soumis à la Haute instance.
De son côté, le magistrat Mokhtar Yahyaoui a précisé que son initiative vise à trouver une solution consensuelle aux divergences au sein de la Haute instance.
Les membres de la Haute instance ont été unanimes pour affirmer l'impératif d'examiner les moyens permettant de rétablir le consensus au sein de la haute Instance. Ils ont dénoncé les agissements irresponsables de certaines parties envers les journalistes et les entraves auxquelles les représentants des médias font face.
Des intervenants ont, pour leur part, dénoncé l'absence injustifiée de plusieurs membres de la Haute Instance et ont demandé l'instauration d'un règlement intérieur permettant d'exclure tout membre qui s'absente sans justification à trois reprises successives.
En ce qui concerne les conditions posées par le mouvement Ennahdha et certaines autres parties qui ont suspendu leur qualité de membre, des intervenants à la réunion ont considéré ces positions comme "un chantage politique". Ils ont relevé, à ce propos, que le retrait d'un membre ne doit en aucune manière entraver la marche de l'Instance appelant à dépasser le discours monopolisant et marginalisant adopté par certains.
Les parties qui se sont retirées ou qui ont gelé leur participation au sein de la Haute Instance avaient posé des conditions pour la réintégration de cette institution. Ces conditions contenues dans l'initiative du juge Mokhtar Yahyaoui, concernent quatre points qui sont :
* Elargissement de la composition de la Haute instance et ouverture sur d'autres parties.
* Extension de la représentation et amélioration du rendement du bureau de la Haute Instance
* Instauration du principe du consensus sans recours au vote
* Elaboration d'un calendrier pour les travaux de l'Instance jusqu'à la fin de son mandat le 23 octobre 2011.
Cette position de Ben Achour vient suite aux déclarations du magistrat Mokhtar Yahyaoui publiées dans la presse tunisienne, appelant à la démission du président de la Haute instance.
Le président de la Haute instance a, toutefois, accueilli favorablement les initiatives visant à rétablir le consensus exprimant son souhait d'un retour du Mouvement Ennahdha au sein de la Haute Instance invitant toutes les parties qui s'étaient retirées ou ayant suspendu leur participation à cette structure à y reprendre leur place sans que cela ne se fasse pas "au détriment de la Haute instance", a-t-il dit.
Il devait préciser, à l'occasion, que l'initiative de Mokhtar Yahyaoui, pour dépasser les divergences au sein de la haute instance offre "une plate-forme de négociation" permettant d'aboutir à un projet consensuel qui sera soumis à la Haute instance.
De son côté, le magistrat Mokhtar Yahyaoui a précisé que son initiative vise à trouver une solution consensuelle aux divergences au sein de la Haute instance.
Les membres de la Haute instance ont été unanimes pour affirmer l'impératif d'examiner les moyens permettant de rétablir le consensus au sein de la haute Instance. Ils ont dénoncé les agissements irresponsables de certaines parties envers les journalistes et les entraves auxquelles les représentants des médias font face.
Des intervenants ont, pour leur part, dénoncé l'absence injustifiée de plusieurs membres de la Haute Instance et ont demandé l'instauration d'un règlement intérieur permettant d'exclure tout membre qui s'absente sans justification à trois reprises successives.
En ce qui concerne les conditions posées par le mouvement Ennahdha et certaines autres parties qui ont suspendu leur qualité de membre, des intervenants à la réunion ont considéré ces positions comme "un chantage politique". Ils ont relevé, à ce propos, que le retrait d'un membre ne doit en aucune manière entraver la marche de l'Instance appelant à dépasser le discours monopolisant et marginalisant adopté par certains.
Les parties qui se sont retirées ou qui ont gelé leur participation au sein de la Haute Instance avaient posé des conditions pour la réintégration de cette institution. Ces conditions contenues dans l'initiative du juge Mokhtar Yahyaoui, concernent quatre points qui sont :
* Elargissement de la composition de la Haute instance et ouverture sur d'autres parties.
* Extension de la représentation et amélioration du rendement du bureau de la Haute Instance
* Instauration du principe du consensus sans recours au vote
* Elaboration d'un calendrier pour les travaux de l'Instance jusqu'à la fin de son mandat le 23 octobre 2011.
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