Lors de la 17ème rencontre de la cellule de communication du Premier ministère, Hichem Meddeb, représentant le ministère de l’Intérieur a traité des troubles de l’ordre enregistrés ces derniers jours. Il a précisé, à ce propos, que le lundi à Jendouba, une quarantaine de personnes, n’ayant pas obtenu les autorisations de taxis, étaient entrés en confrontation violente avec d’autres personnes au nombre de 200, qui sont elles contre ces autorisations, et les forces de l’ordre sont intervenues avec succès.
Le mardi à Gafsa, ajoute M. Meddeb, il y avait une réunion entre des membres de commission de la protection de la révolution, au cours de laquelle un différend entre deux personnes a dégénéré. Des heurts entre deux groupes se sont déclenchés. Les forces de l’ordre ont, encore une fois, pu maîtriser la situation.
Cependant, le lendemain matin, ajoute M. Meddeb, deux groupes de personnes, l’un comptant près de mille et l’autre, environ 1 500, se sont affrontés dans les rues, armés de pierres et de bâtons, ce qui a nécessité l’intervention des forces de l’ordre avec l’aide de l’armée. La ville n’était pas à bout de ses peines puisque des individus ont profité du fait que les forces de l’ordre étaient occupées à gérer les tensions pour essayer d’attaquer le poste de police régional. M. Meddeb a affirmé que grâce à l’intervention des habitants de la région, le poste a été protégé et épargné.
Quant à Kasserine, Hichem Meddeb a expliqué que certains membres de la commission de la protection de la révolution, des syndicalistes de l’UGTT et des partisans de certains partis ont manifesté leur mécontentement du rendement du gouverneur de la région. Ce dernier a, de ce fait, quitté son poste.
En conclusion, M. Meddeb a déclaré que «malheureusement, certains Tunisiens ont mal compris le sens de la liberté et confondent entre liberté et anarchie! Mais fort heureusement qu’il y a encore en Tunisie plusieurs citoyens qui aiment vraiment leur pays et qui, par leur vigilance, nous aident à le protéger!»
Le mardi à Gafsa, ajoute M. Meddeb, il y avait une réunion entre des membres de commission de la protection de la révolution, au cours de laquelle un différend entre deux personnes a dégénéré. Des heurts entre deux groupes se sont déclenchés. Les forces de l’ordre ont, encore une fois, pu maîtriser la situation.
Cependant, le lendemain matin, ajoute M. Meddeb, deux groupes de personnes, l’un comptant près de mille et l’autre, environ 1 500, se sont affrontés dans les rues, armés de pierres et de bâtons, ce qui a nécessité l’intervention des forces de l’ordre avec l’aide de l’armée. La ville n’était pas à bout de ses peines puisque des individus ont profité du fait que les forces de l’ordre étaient occupées à gérer les tensions pour essayer d’attaquer le poste de police régional. M. Meddeb a affirmé que grâce à l’intervention des habitants de la région, le poste a été protégé et épargné.
Quant à Kasserine, Hichem Meddeb a expliqué que certains membres de la commission de la protection de la révolution, des syndicalistes de l’UGTT et des partisans de certains partis ont manifesté leur mécontentement du rendement du gouverneur de la région. Ce dernier a, de ce fait, quitté son poste.
En conclusion, M. Meddeb a déclaré que «malheureusement, certains Tunisiens ont mal compris le sens de la liberté et confondent entre liberté et anarchie! Mais fort heureusement qu’il y a encore en Tunisie plusieurs citoyens qui aiment vraiment leur pays et qui, par leur vigilance, nous aident à le protéger!»
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