Moez Sinaoui, au nom du Premier ministère a ouvert le bal lors de la 15ème rencontre de la cellule de communication réunie le 7 juillet 2011, pour faire part du bilan des visites diplomatiques du Premier ministre Béji Caïd Essebsi au Qatar, aux Emirats Arabes Unis et au Koweït. Il a déclaré, à ce propos, que le choix des destinations et même l’ordre chronologique des visites se sont faits sur la base des réactions positives successives de ces trois pays frères face à la révolution tunisienne. L’accueil réservé à la délégation tunisienne en compagnie du Premier ministre a été plus que chaleureux, a-t-il ajouté.
En définitive, il a qualifié la visite à Qatar « d’harmonieuse », celle aux EAU, de « reprise de la confiance » et celle du Koweït de « porteuse de promesses de coopération ». Ces trois pays a-t-il précisé, ont exprimé leur volonté d’entreprendre des projets économiques d’envergure, sauf que, c’est à la Tunisie de préparer les programmes et les horizons d’investissements. « La balle est dans notre camp », a dit M. Sinaoui.
« Le Qatar, par exemple, est prêt à recruter pas moins de 20 000 Tunisiens, mais certains obstacles risquent d’empêcher ces recrutements, tels que l’exigence de la langue anglaise et la demande de certaines compétences spécifiques ».Il incombe aux Tunisiens d’en prendre note et de veiller à envoyer « les bonnes personnes aux bons endroits ».
En définitive, il a qualifié la visite à Qatar « d’harmonieuse », celle aux EAU, de « reprise de la confiance » et celle du Koweït de « porteuse de promesses de coopération ». Ces trois pays a-t-il précisé, ont exprimé leur volonté d’entreprendre des projets économiques d’envergure, sauf que, c’est à la Tunisie de préparer les programmes et les horizons d’investissements. « La balle est dans notre camp », a dit M. Sinaoui.
« Le Qatar, par exemple, est prêt à recruter pas moins de 20 000 Tunisiens, mais certains obstacles risquent d’empêcher ces recrutements, tels que l’exigence de la langue anglaise et la demande de certaines compétences spécifiques ».Il incombe aux Tunisiens d’en prendre note et de veiller à envoyer « les bonnes personnes aux bons endroits ».
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