Catherine Ashton a tenu, mercredi 6 juillet 2011, une rencontre de presse, au siège du parlement européen à Strasbourg, exclusivement avec les journalistes tunisiens et égyptiens, invités du 3 au 8 juillet à Bruxelles.
Dans ses déclarations, la Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, a souligné le rôle important des armées des deux pays dans la gestion des périodes de crise réciproques. Par ailleurs, elle estime que les situations dans les différents pays arabes, qui ont vécu, au cours de ces derniers mois, des évènements violents (Tunisie, Libye, Egypte, Syrie) ne sont pas similaires Les résolutions adoptées ne peuvent pas, par conséquent, être pareilles. Le seul point commun à relever serait le rôle crucial des gouvernements dans l’élaboration et la mise en place d’un processus démocratique, qui prendra plusieurs années, voir décennies à s’établir convenablement.
Concernant les avoirs des anciens présidents en Europe, la Haute représentante a souligné que, actuellement, l’unique position légale de l’Europe vis-à-vis de cette problématique est de geler les avoirs. « L’Europe ne peut, pour l’instant, pas faire plus », ajoute-t-elle.
A une question d’un collègue concernant la réaction future de l’Union européenne à une éventuelle prise du pouvoir en Tunisie par un parti islamiste, Mme Ashton a déclaré que « l’Union Européenne ne compte pas abandonner la Tunisie, si elle persévère dans le choix du processus démocratique ».
En d’autres termes, il revient à la population de choisir son président et son régime futurs et aux partis politiques tunisiens de suivre les règles de la démocratie.
Dans ses déclarations, la Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, a souligné le rôle important des armées des deux pays dans la gestion des périodes de crise réciproques. Par ailleurs, elle estime que les situations dans les différents pays arabes, qui ont vécu, au cours de ces derniers mois, des évènements violents (Tunisie, Libye, Egypte, Syrie) ne sont pas similaires Les résolutions adoptées ne peuvent pas, par conséquent, être pareilles. Le seul point commun à relever serait le rôle crucial des gouvernements dans l’élaboration et la mise en place d’un processus démocratique, qui prendra plusieurs années, voir décennies à s’établir convenablement.
Concernant les avoirs des anciens présidents en Europe, la Haute représentante a souligné que, actuellement, l’unique position légale de l’Europe vis-à-vis de cette problématique est de geler les avoirs. « L’Europe ne peut, pour l’instant, pas faire plus », ajoute-t-elle.
A une question d’un collègue concernant la réaction future de l’Union européenne à une éventuelle prise du pouvoir en Tunisie par un parti islamiste, Mme Ashton a déclaré que « l’Union Européenne ne compte pas abandonner la Tunisie, si elle persévère dans le choix du processus démocratique ».
En d’autres termes, il revient à la population de choisir son président et son régime futurs et aux partis politiques tunisiens de suivre les règles de la démocratie.
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